Apocalypse #22: Apocalypse chapitre 13:11-18 La 2ème bête de l’apocalypse, le faux prophète

Apocalypse #22: Apocalypse chapitre 13:11-18 La 2ème bête de l’apocalypse, le faux prophète

prédication Apocalypse 13 : Michel Bohrer, 2019_11_05, église AB Vevey

titre : Apocalypse #22: Apocalypse chapitre 13:11-18 La 2ème bête de l’apocalypse, le faux prophète

Résumé : Le chapitre 13 de l’Apocalypse décrit un gouvernement mondial futur, dont les acteurs principaux seront la première bête (le dictateur mondial) et la deuxième bête (le faux prophète). Le dragon, Satan, se tient à l’arrière-plan, mais c’est lui « qui tire les ficelles ». Ce chapitre décrit donc les derniers 3½ ans précédant la venue en gloire de Jésus-Christ. Nous avons déjà considéré la première bête. Il est temps de voir ce que dit l’Ecriture concernant la deuxième bête.

Introduction :

Le chapitre 13 de l’Apocalypse décrit un gouvernement mondial futur, dont les acteurs principaux seront la première bête  (le dictateur mondial) et la deuxième bête (le faux prophète). Le dragon, Satan, se tient à l’arrière-plan, mais c’est lui « qui tire les ficelles ». Ce chapitre décrit donc les derniers 3½ ans précédant la venue en gloire de Jésus-Christ.

Nous avons déjà considéré la première bête. Il est temps de voir ce que dit l’Ecriture concernant la deuxième bête.

La description de la deuxième bête

Verset 11 :

« Ensuite je vis monter de la terre une autre bête; elle avait deux cornes semblables à celles d’un agneau, mais elle parlait comme un dragon ».

Jean voit apparaître maintenant « une autre bête ». Elle est une autre (grec « allos »), du même genre que la première. Elle est donc également une bête sauvage.

Mais cette deuxième bête monte « de la terre » : elle est par définition une créature terrestre (cf. Jean 3.12)[1]. Mais quelle est la différence fondamentale entre la première bête qui monte « de la mer » (les nations) et la deuxième qui monte « de la terre » ?

Je ne sais pas. Certains ont argumenté que cette seconde bête, venant « de la terre », signifie qu’il venait de la terre d’Israël, qu’il était donc juif. Mais interpréter l’expression « de la terre » de cette façon est aller au-delà de l’Écriture.

Elle a « deux cornes semblables à celles d’un agneau. » Les cornes suggèrent la force. Elle a donc moins de force que la première bête. L’allusion à un « agneau » dénote une apparence d’humilité et de douceur. Mais sous ce couvert pseudo-religieux se cache un caractère cruel, impitoyable. En fait, cette bête parle « comme un dragon », comme Satan.

Le Seigneur nous met en garde :

« Méfiez-vous des faux prophètes ! Ils viennent à vous en vêtements de brebis, mais au-dedans ce sont des loups voraces. » (Mat 7.15)

« Car de faux messies et de faux prophètes surgiront ; ils feront de grands prodiges et des signes miraculeux au point de tromper, si c’était possible, même ceux qui ont été choisis. » (Mat 24.24)

L’objectif de la deuxième bête

Verset 12 :

« Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, celle dont la blessure mortelle avait été guérie. »

Quel est l’objectif de la seconde bête ? Son objectif est de promouvoir l’adoration de la première bête. Son « autorité » est aussi grande que celle de la première bête, mais elle l’utilise « en sa présence », pour promouvoir les intérêts de la première bête.

Que fait-elle spécifiquement ? Elle oblige « la terre et ses habitants à  adorer la première bête… » Si la première bête représente le pouvoir politique mondial, la seconde bête en est le chef religieux. Cette seconde bête est appelée « le faux prophète » au chapitre 19 :

« La bête fut capturée, ainsi que le faux prophète qui avait accompli devant elle des signes miraculeux pour égarer ceux qui avaient reçu la marque de la bête et adoré son image. Tous les deux furent jetés vivants dans l’étang ardent de feu et de soufre » (Apoc 19.20 ; cf. 20.10).

La deuxième moitié de la tribulation sera caractérisé par un faux système religieux. Une fausse trinité dominera la terre.

  • Le dragon, Satan essaiera à tout prix d’assumer le rôle de Dieu le Père ;
  • La première bête voudra assumer le rôle de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, le Roi des rois ;
  • Quant à la deuxième bête, le faux prophète, il essaiera d’agir comme la personne du Saint-Esprit, qui conduit les croyants à adorer Dieu.

Durant ce temps-là, la séduction sera à son comble.

les signes mensongers de la deuxième bête

Versets 13-15 :

« Elle accomplissait de grands signes miraculeux, jusqu’à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. Elle égarait les habitants de la terre par les signes qu’il lui était donné d’accomplir en présence de la bête; elle leur disait de faire une image de la bête qui avait été blessée par l’épée et qui avait survécu. Elle reçut le pouvoir d’animer l’image de la bête, afin que cette image puisse parler et faire tuer tous ceux qui ne l’adoreraient pas. »

« Les temps des nations » (cf. Luc 21.24) ont commencé avec le roi Nebucadnetsar. Vous vous souvenez comment il a contraint les hommes de son empire à adorer une statue en or (cf. Daniel 3). Les temps des nations culmineront avec un gouvernement mondial et l’obligation pour tout être humain d’adorer « l’image de la bête ».

Comme l’a souligné un commentateur, durant la deuxième moitié de la tribulation, la sagesse anti-chrétienne (la deuxième bête) se mettra au service du pouvoir anti-chrétien (la première bête). La deuxième bête contraindra les habitants de la terre à obéir aux ordres de la première bête. Pour cela, elle utilisera « de grands signes miraculeux. »

Dans les versets 12 à 14, l’apôtre Jean emploie beaucoup de verbes au présent (dans le grec), ce qui indique une action répétée :

« Elle exerce tout le pouvoir de la première bête, et fait que la terre et ceux qui habitent sur elle rendent hommage à la première bête … Elle fait de grands miracles … elle fait descendre le feu du ciel … Elle séduit ceux qui habitent sur la terre… » (versets 12-14, vers. Darby).

En faisant descendre le feu du ciel, la deuxième bête pensait-elle imiter les miracles du prophète Élie (2 Rois 1.10-12), ou ce qui s’est passé à la Pentecôte (Act 2.3) ? Ou voulait-elle imiter les deux témoins, dont le feu sortait de leur bouche (Apoc 11.5) ?

Un commentateur anglophone a déclaré, non sans humour : « Le faux prophète joue avec le feu jusqu’à ce qu’il soit jeté dans l’étang de feu » (Vernon McGee).

Mais ce n’est pas tout. Le faux prophète, la deuxième bête, ordonne aux habitants de la terre de « faire une image de la bête qui avait été blessée par l’épée et qui avait survécu ».

Cette image sera probablement installée dans le temple à Jérusalem. Dans Matthieu 24.15, Jésus parle de « l’abomination de la désolation… établie en lieu saint ». Cette expression est reprise de Daniel 11.31 (voir aussi Dan 12.11).

Au 2e siècle avant Jésus-Christ, l’impie Antiochus Epiphane a fait dresser une idole dans le temple à Jérusalem. Selon l’histoire, il a offert une truie sur l’autel.

Cette image de la première bête établie « dans le lieu saint », le temple, constituera « l’abomination de la désolation ». Ce fait est important, car est mentionné fréquemment dans l’Apocalypse[2].

C’est alors que le résidu d’Israël, ceux qui croiront en Jésus le Messie, fuira dans les montagnes (cf. Mat 24.16)[3].

Concernant le lieu saint à Jérusalem, l’apôtre Paul mentionne que l’antichrist s’assiéra dans le temple de Dieu à Jérusalem et se proclamera lui-même Dieu (cf. 2 Thes 2.4).

Mais ce n’est pas tout. Nous lisons au verset 15 : « Elle reçut le pouvoir d’animer l’image de la bête, afin que cette image puisse parler… » S’agit-il d’un miracle opéré par Satan ? Il peut accomplir certains miracles. S’agit-il d’une apparence ? L’image a une certaine « respiration »[4], elle peut « parler », mais par des moyens techniques (tel un robot).

C’est ainsi que cette image deviendra le centre d’une fausse adoration, le comble de l’apostasie. Ce culte d’adoration sera comme au temps de Nebucadnetsar : il sera contraignant. Tous ceux qui refuseront d’adorer cette image seront poursuivis pour être mis à mort. La Bible mentionne une multitude de gens de toute nation qui refuseront d’adorer la bête et son image, et qui subiront le martyr (cf. Apoc 7.9-17).

L’obligation de porter la marque de la bête

Versets 16-17 :

« Elle fit en sorte qu’on impose à tous les hommes, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une marque sur leur main droite ou sur leur front. Ainsi, personne ne pouvait acheter ni vendre sans avoir la marque, c’est-à-dire le nom de la bête ou le nombre de son nom ».

L’étau se ressert. Après avoir fait que tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la bête soient tués, la deuxième bête va plus loin. Elle impose à tous les habitants de la terre de recevoir une marque, afin d’être identifiés à la bête. Tels des animaux, des esclaves ou des criminels, chaque être humain sera marqué dans sa peau.

Chaque individu, quel que soit son statut social ou économique, devra porter la marque de la bête. L’Ecriture précise que cette marque sera apposée « sur leur main droite ou sur leur front. » Cette marque les identifiera comme adorateurs de l’antichrist.

Sans cette marque, personne ne pourra « acheter ou vendre. » Les habitants de la terre seront face à une dictature économique. Au début de la grande tribulation, chaque être humain devra choisir s’il veut adorer la bête ou faire face au martyr.

N’est-il pas tragique, lorsque nous considérons les choix de l’homme, que ceux-ci s’éloignent de plus en plus de ce que Dieu a voulu pour ses créatures ? Aujourd’hui, l’homme tient très fort à sa liberté individuelle. Dans nos sociétés occidentales, nous tolérons les choix mauvais, parce que ceux-ci font partie de la liberté individuelle. C’est ainsi que nos sociétés s’enfoncent de plus en plus dans les ténèbres.

C’est pourquoi Dieu doit intervenir en jugement. Lisons les paroles du prophète Ésaïe :

« Le jour de l’Éternel arrive. C’est un jour cruel, un jour de colère et d’ardente fureur qui transformera la terre en désert, faisant disparaître les pécheurs de sa surface. En effet, les étoiles du ciel et leurs constellations ne diffuseront plus leur lumière, le soleil s’obscurcira dès son lever et la lune ne fera plus briller sa lumière.

J’interviendrai contre le monde à cause du mal commis et contre les méchants à cause de leurs fautes. Je mettrai un terme à l’orgueil des hommes insolents et je rabaisserai l’arrogance des hommes violents. Je rendrai les êtres humains plus rares que l’or fin, les hommes plus rares que l’or d’Ophir. C’est pourquoi j’agiterai le ciel et la terre tremblera sur elle-même à cause de la fureur de l’Éternel, le maître de l’univers, le jour de son ardente colère » (És 13.9-13 ; cf. 1 Thes 5.3).

Comprenez-vous pourquoi Dieu doit juger la terre et ses habitants ? Le chapitre 6 de l’Apocalypse, qui décrit les six premiers sceaux, termine par ces mots : « … Le grand jour de sa colère est venu, et qui peut résister ? » (Apoc 6.17).

Mais revenons au chapitre 13. Chacun devra porter dans son corps la marque de la bête, signe de son appartenance à la bête et à son royaume.

Il y a déjà bien des années, un journaliste aux États-Unis déplorait le fait que nous devons avoir sur nous tant de cartes. Il disait : « Cela simplifierait tellement les choses, si le gouvernement assignait à chaque citoyen un numéro qui couvre tous les usages, lequel serait tatoué sur le front, ce qui nous éviterait d’avoir sur nous toutes ces cartes.

Il y a bien des personnes qui pensent aux avantages qu’offrirait une puce implantée dans le corps :

  • Une sécurité accrue face aux vols de cartes de crédit ou de données.
  • Toutes les données médicales seraient sur la personne, sans devoir les porter de façon matérielle. Très utile en cas d’intervention urgente (un accident).
  • Une telle puce pourrait détecter des virus, des cellules cancéreuses ou autres.
  • Elle permettrait de retrouver un bébé ou un enfant en cas d’enlèvement.

Comme vous le savez, un système de puce électronique est déjà utilisé couramment, comme badge pour accéder à un bâtiment, utiliser des remontées mécaniques à ski, ou comme titre de transport en bus ou en métro.

Des puces sont déjà implantées pour les chiens et les chats. D’ailleurs, cette puce est obligatoire pour traverser la frontière avec un animal, par exemple en France. En outre, la géo-localisation est déjà utilisée pour localiser les animaux.

En octobre 2004, la puissante Administration américaine « Food and Drug Administration » (FDA) a autorisé la mise sur le marché de la première puce implantée sous la peau. Cette puce est limitée à un usage médical. Cette technologie de l’infiniment petit, la nanotechnologie, est une science qui progresse rapidement.

C’est ainsi que l’entreprise « Applied Digital Solutions » a développé une puce du nom de « VeriChip » (marque déposée). Cette puce a la forme et la taille d’un grain de riz et peut être insérée sous la peau. Cette puce ne s’use pas et elle n’a pas besoin d’être rechargée. Elle utilise les ondes radio (technologie RFID) pour identifier des objets ou des personnes. Elle contient toutes les informations médicales du patient. Celui-ci a donc un dossier médical informatisé, sous la peau.

Actuellement, toutes les informations sont privées et confidentielles. Elles sont inaccessibles sans un équipement approprié. Elles sont réservées exclusivement aux docteurs, aux hôpitaux ou aux entreprises d’implants. Cette puce ne contient qu’un code à 16 chiffres. Elle n’est pas un GPS : la personne ne peut pas être géo-localisée.

Le président Obama réalise les avantages de la puce « VeriChip » pour réduire les coûts de la santé. Inutile de dire qu’il s’agit là d’un marché économique de plusieurs milliards.

Le but de l’entreprise est clairement défini : « Fournir une identification sécurisée et infalsifiable pour les besoins médicaux, la sécurité financière et autres applications. »[5] Cette entreprise est spécialisée dans les domaines suivants : l’amélioration de la qualité de vie, la sécurité des personnes, les systèmes de détection… Leur domaine est prioritairement celui de la sécurité.

Concernant la marque de la bête que chaque être humain devra porter, sera-t-elle sous la forme d’un tatouage ? Ou plutôt d’une puce électronique ? Cela est possible. Les technologies avancent rapidement.

Chez nous, en Europe, l’approche est moins résolue. En 2011, le Conseil fédéral a lancé un projet pour optimiser les soins et les coûts de la santé. Il est question d’une carte électronique contenant les données personnelles du patient et son dossier médical. Mais cela pourrait prendre des années à mettre en place.

Le nombre de la bête

Verset 18 :

« Il faut ici de la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence déchiffre le nombre de la bête, car c’est un nombre d’homme. Son nombre est 666 »

De nombreux érudits de la Bible ont essayé, en vain, de déchiffrer le nombre « 666 ». Plusieurs sont allés jusqu’à utiliser les lettres en hébreu, latin ou grec, lesquelles ont des équivalents  numériques. De là, ils ont proposé des personnages du passé.

Darby a confessé son ignorance quant au nombre 666.

Ce que nous pouvons dire est d’ordre général. Le nombre 6 symbolise l’homme. C’est ainsi qu’il doit travailler 6 jours et se reposer le 7e. La statue d’or que le roi Nebucadnetsar a fait ériger était haute de 60 coudées et large de 6 coudées.

Par contre, le chiffre 7 est le symbole de la perfection (cf. Gen 2.2), de la plénitude (7 jours dans la semaine, cycle de sept semaines, l’emploi fréquent du chiffre 7 dans l’Apocalypse).

Dans le contexte du chapitre 13, le dragon et les deux bêtes prétendent se faire passer pour Dieu. Pourtant, ces trois êtres ne sont que des créatures. Ainsi, l’antichrist, aussi puissant soit-il, n’est qu’un homme. Il porte le chiffre 6, soulignant qu’il n’est qu’un homme, malgré ses prétentions. Il n’atteindra jamais le chiffre 7, la perfection de Dieu. Le triple six pourrait ainsi représenter la fausse trinité, durant la seconde moitié de la tribulation.

Quelle leçon à ne pas placer notre confiance en l’homme, qui ne peut ni sauver ni délivrer.

L’Éternel nous en met en garde à plusieurs reprises. « Cessez de vous confier en l’homme, dans les narines duquel il n’y a qu’un souffle : car de quelle valeur est-il ? » (És 2.22).

Pour revenir au nombre de la bête, il permettra à des millions de croyants, qui seront sur terre durant la tribulation, d’identifier la bête, l’antichrist (voir le chapitre 7). Ce sera important pour eux (cela ne l’est pas pour nous).

En résumé, le chapitre 13 souligne quel sera le caractère de la grande tribulation : un gouvernement mondial, une religion mondiale, un système économique mondial.

Une dernière question : qui est l’antichrist ? Ce doit être la bête la plus importante des deux. C’est donc la première. C’est elle qui sera l’antichrist. La deuxième bête, elle, conduit les habitants de la terre à adorer la bête, à faire une image de la bête, et à recevoir sa marque ; elle est appelée « le faux prophète » (Apoc 16.13 ; 19.20 ; 20.10).

Conclusion :

Alors que la vaste majorité des habitants de la terre suivront l’antichrist, adoreront son image et recevront sa marque, pour leur perte éternelle, le texte biblique de ce matin doit nous pousser à deux choses :

  • À porter toute notre attention sur Jésus-Christ et son royaume qui vient. Apprenons à Le connaître personnellement, à l’aimer et à le suivre. Nous avons été scellés par le Saint-Esprit, gage de notre appartenance éternelle au Seigneur. Laissons-le nous transformer par son Esprit, afin de marcher dans la lumière, comme Lui-même a marché.
  • Jésus-Christ est la lumière du monde. En Lui, nous sommes la lumière du monde. Brillons d’une lumière limpide et apportons la bonne nouvelle, l’Evangile, à celles et ceux qui ne le connaissent pas.

Car, comme le Seigneur nous le rappelle, « la nuit vient, où personne ne peut travailler » (Jean 9.4).


[1] Il est une créature de la terre plutôt que du ciel. 1 Cor 15.47 : « Le premier homme, tiré de la terre, est terrestre ; le second homme est du ciel ».

[2] Apoc 13.14-15 ; 14.9,11 ; 15.2 ; 16.2 ; 19.20 ; 20.4.

[3] Un rappel que le discours sur le mont des Oliviers (Matthieu 24 et 25) est entièrement prophétique. Il traite du temps de la tribulation mondiale et de la seconde venue du Messie. Le contexte géographique est la Palestine. Le contexte est entièrement juif. Il n’y a aucune mention de l’Église. Pour plus de détails, voir « Le commentaire biblique du disciple, N.T. », de W. MacDonald, page 131.

[4] Verset 15 : « Et il lui fut donné de donner respiration (grec « pneuma » : vent, souffle, respiration) à l’image de la bête… » (trad. littérale).

[5] Pour plus d’informations, consulter les sites suivants : implants digital pour paiemtent, VeriChip, VeriTeQ (appelé auparavant Digital Angel).

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Prédications Archives ; Série Apocalypse ; étude biblique Apocalypse de l’église AB Lausanne-Renens

Prédication donnée à l’église AB Vevey-Riviera: Les cultes sont aussi diffusées en Streaming, visitez notre chaîne YouTube église AB Vevey – La Riviera et la chaîne YouTube des églises Action Biblique

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Prédicateur: Michel Bohrer