Biblographie : Ecclésiologie, la doctrine dans l’église

Biblographie : Ecclésiologie, la doctrine dans l’église


Adams Jay E. Shepherding God’s Flock, Baker Book House, Grand Rapids, 1981
Bilézikian Gilbert Homme-femme, vers une autre relation, Editions Grâce et Vérité,
Mulhouse, 1992
Brown David Une église pour aujourd’hui, Ed. Farel, Marne-la-Vallée, 2001
Passerelles : entre l’évangile et nos contemporains, 2003
Buhler F. L’église locale, Editions Farel, Fontenay-sous-Bois, 1979
Crabb Larry L’endroit le plus sûr au monde. La communauté spirituelle telle que
Dieu l’a conçue
, Ed. La Clairière inc., 2005
Criswell W.A. Criswell’s Guidebook for Pastors, Broadman Press, Nashville, 1980
Dever Mark et
Alexander Paul L’Eglise intentionnelle, Editions Clé, Lyon, 2007
Gangel Kenneth O. Leadership for Church Education, Moody Press, Chicago, 1970
Getz Gene A. Vers la stature parfaite de Jésus-Christ, Ed. Vida, 1979
Redécouvrons l’église locale, Ed. SEMBEQ, Montréal, 1997
Griffiths Michael Belle, mais délaissée : l’Eglise, joyau de Dieu, Editions Grâce et
Vérité, Mulhouse, 1985
Kuen A. Le culte dans la Bible et dans l’Histoire, Ed. Emmaüs, Saint-Légier sur
Vevey, 1993
Je bâtirai mon Eglise, Editions Emmaüs, Saint-Légier sur Vevey, 1967
La femme dans l’Eglise, Ed. Emmaüs, 1994
Ministères dans l’Eglise, Ed. Emmaüs, 1983
Pourquoi l’Eglise ? Editions Emmaüs, 1981
Le responsable : qualifications et fonctions, 1997
L’organisation de l’église, 1997
Si ton frère a péché. La discipline dans l’Eglise, 1997
Lüthi Marc Les assemblées évangéliques de Suisse romande sous la loupe, Ed.
Je Sème, 1994
MacArthur Jr. John The Ultimate Priority, Moody Press, Chicago, 1983
Discovering Pastoral Ministry, Word Publishing, 1995
MacDonald William Christ a aimé l’Eglise, Cours Biblique par Correspondance, Vichy,
1983
MacNair Donald J. The Birth, Care, and Feeding of a Local Church, Baker Book
House, Grand Rapids, 1971
Olyott Stuart Les uns avec les autres, Editions Kerygma, Aix-en-Provence, 1988
Richards Lawrence
et Hoeldtke Clyde A Theology of Church Leadership, Zondervan Publishing House, 1980
Saucy Robert L. The Church in God’s Program, Moody Press, Chicago, 1972
Shallis Ralph La cellule vivante, Editions Farel, Fontenay-sous-Bois, 1987
Le corps vivant, Editions Farel, Marne-la-Vallée, 1990
Strauch Alexander Egaux mais différents, Editions Clé, Lyon, 2006
Les anciens. Qu’en dit la Bible ? Publications Chrétiennes, Cap-de-la-Madeleine, 2004
Schwarz Christian Le développement de l’Eglise, Ed. Empreinte Temps Présent, Paris
La dynamique de l’Eglise, 1999
Découvrez vos dons, 1998
Yancey Philip Déçu par l’Eglise : mon parcours personnel, 1998
Warren Rick L’Eglise, une passion une vision : Eternity Publishing House, 1999

Référence: EGLISE EVANGELIQUE REFORMEE DU CANTON DE VAUD

Eglise Evangélique Réformée du Canton de Vaud

Document de référence pour le cours sur le thème : La Doctrine de l’église / Ecclésiologie de Michel Bohrer 2014-2016 à l’gélise AB Vevey.

Le Synode élit son exécutif, le Conseil synodal, différentes commissions permanentes (commission de consécration, commission de gestion, commission des finances, commission de discipline) ainsi que ses délégués au Synode missionnaire et à la Fédération des Eglises Protestantes de Suisse (FEPS).

Le Synode tient au moins deux séances ordinaires par année, l’une au printemps et l’autre en automne, ainsi que des séances extraordinaires chaque fois que les dossiers l’exigent.

Le Synode est composée de 87 délégués:

  • 66 délégués des Régions (4 laïcs et 2 ministres par Région, élus par chaque assemblée régionale)
  • 12 délégués des ministères cantonaux (8 laïcs et 4 ministres, y compris les aumôneries œcuméniques), élus par l’assemblée électorale des services cantonaux
  • 3 délégués des paroisses de langue allemande (2 laïcs et 1 ministre) désignés par leur conseil au niveau cantonal
  • 3 délégués de l’Etat, désignés par le Conseil d’Etat
  • 3 délégués de la faculté de théologie et de sciences des religions, désignés par celle-ci

Le Conseil synodal

C’est l’autorité exécutive de l’Eglise

C’est également l’autorité d’engagement des pasteurs, diacres et laïcs salariés. Il est composé de 7 personnes (4 laïcs et 3 pasteurs ou diacres) et est élu par le Synode. Le Conseil synodal est secondé dans son travail par le chancelier de l’Eglise.

Notre histoire

En 1536, l’armée bernoise conquiert le Pays de Vaud dans sa marche pour porter secours à Genève.

Sans tarder, leurs Excellences de Berne invitent protestants et catholiques à mesurer les arguments de leur foi à la Cathédrale. C’est la Dispute de Lausanne à laquelle participent Guillaume Farel, Pierre Viret, Jean Calvin. Suite à ces débats, MM. de Berne proclament les Edits qui imposent la Réformation dans le Pays de Vaud. Ils s’arrogent les biens de l’Eglise, s’engagent en contrepartie à payer les pasteurs et à les former.

S’ensuit une longue histoire de proximité entre l’Etat et l’Eglise réformée. Le visage de l’Eglise réformée actuelle s’est dessiné, dans ses caractéristiques fondamentales, au 19ème siècle.

L’élément principal consiste en l’accession des laïcs aux responsabilités. En 1863, sont créés les conseils paroissiaux élus par les fidèles, les conseils d’arrondissement, le Synode, le Conseil synodal. Dans les assemblées, les laïcs sont deux fois plus nombreux que les ministres; le fonctionnement en est démocratique. En se dotant de conseils d’Anciens, l’Eglise libre, née d’une rupture avec l’Etat en 1847, avait ouvert le chemin à cet engagement des laïcs. L’Eglise libre et l’Eglise nationale fusionneront en 1966 pour donner naissance à l’Eglise évangélique réformée du canton de Vaud.

Depuis le début du 19ème siècle, la situation des catholiques vaudois a été en s’assouplissant, jusqu’à la Constitution d’avril 2003 qui place les deux Eglises sur pied d’égalité.

Notre foi

Au commencement, il y a l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ

A l’origine de la relation avec Dieu ne se tiennent pas les œuvres ou les mérites de l’homme, mais la tendresse de Dieu, la promesse de sa présence, accueillies dans la confiance. C’est le salut par grâce. La Bible renvoie sans cesse à cet amour et à cette fidélité. Les Eglises de la Réforme fondent leur vie sur la richesse des Ecritures dont chacun et chacune peut profiter. Dans la société d’aujourd’hui, source de multiples interpellations, l’Eglise protestante vaudoise s’inscrit comme un lieu de service, d’accompagnement et de dialogue.

Le témoignage de l’EERV ne repose pas sur une hiérarchie, mais sur l’apport de toutes les personnes engagées en son sein. Elles ont reçu une diversité de dons à faire valoir. Les pasteurs et les diacres sont là pour les former et les entraîner au témoignage et au service chrétien.

Se reconnaissant membre de l’Eglise universelle, l’Eglise protestante vaudoise n’est pas Eglise toute seule. Elle fait partie de la Conférence des Eglises protestantes romandes, de la Fédération des Eglises protestantes de la Suisse qui la relie au Conseil œcuménique des Eglises.

Elle participe au dialogue œcuménique.

Principes constitutifs

  1. L’Eglise évangélique réformée du canton de Vaud a pour seule autorité Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Avec la Bible, elle le reconnaît comme Sauveur et Seigneur de l’humanité et du monde. L’Eglise trouve en Lui son fondement et son sens.
  2. A la lumière du Saint-Esprit, elle cherche à discerner dans les Ecritures la Parole de Dieu. Elle proclame le salut par grâce accueilli dans la foi. Avec les Eglises de la Réforme, elle affirme que la Bible doit toujours être interprétée et soumet cette interprétation à la Bible elle-même.
  3. Elle est communauté de prière, de partage et d’espérance rassemblée autour du Christ par la proclamation de la Parole et la célébration des sacrements. Elle reconnaît le baptême célébré une fois pour toutes et à tout âge. Elle accueille à la cène tous les baptisés.
  4. Selon la Constitution cantonale et la Loi ecclésiastique, qui respectent sa liberté spirituelle et garantissent sa liberté d’organisation, elle est reconnue par l’Etat comme une institution de droit public. Elle collabore au bien de tous.
  5. Elle reçoit du Christ la mission de témoigner de l’Evangile en paroles et en actes. Elle accomplit cette mission dans le canton de Vaud, auprès de tous et sans discrimination.
  6. Elle reconnaît que tous les baptisés sont responsables de cette mission selon la vocation et les charismes reçus de Dieu.
  7. Dans le cadre de ce sacerdoce universel, elle consacre des femmes et des hommes à des ministères particuliers qui entraînent et forment à la vie communautaire, au témoignage et à la solidarité.
  8. Elle s’inscrit dans la communion de l’Eglise universelle. Avec les Eglises chrétiennes, elle partage la responsabilité du témoignage de l’Evangile dans le monde. Elle s’engage dans l’action œcuménique et l’œuvre missionnaire. Elle entretient une solidarité particulière avec les Eglises de la Réforme.
  9. Dans le dialogue avec les religions, elle privilégie l’interpellation mutuelle pour une coexistence pacifique et une meilleure compréhension. Elle respecte la différence tout en continuant de proclamer l’Evangile. Elle encourage à la clairvoyance envers les diverses formes de spiritualité.
  10. Elle porte un regard bienveillant et critique sur la société.
  11. Elle demeure exigeante envers elle-même et se sait toujours à réformer.
  12. Ouverte à tous, elle reconnaît comme membre toute personne qui accepte « la grâce du Seigneur Jésus-Christ, l’amour de Dieu et la communion du Saint Esprit »[1] ainsi que ses Principes constitutifs et ses formes organiques. Elle remet à Dieu le jugement des cœurs.

Adoptés par le Synode, le 9 avril 2005

Ta Jeunesse : L’Occulte

Ta Jeunesse : L’Occulte

Extrait de la revue Ta Jeunesse : Alternatives? Cannabis / Occultisme

Dans la Bible Le livre d’Osée, écrit vers 715 avant J-C, parle déjà en ces termes : « Mon peuple consulte son bois, et c’est son bâton qui lui parle ! » Osée 4 :12 Dans ce verset, nous voyons que les occultistes de l’époque utilisaient un bâton pour prédire l’avenir. Cela nous montre que les pratiques occultes ne sont pas nouvelles ! Quelques explications Pour décrypter l’avenir, et entrer en contact avec le surnaturel, il est indispensable de passer par un intermédiaire. Il s’agit d’un homme ou d’une femme, qui sert de passerelle entre le monde visible et le monde invisible. C’est la personne clé. On parle de voyants, marabouts, devins, astrologues, médiums et sorciers. L’autre éventualité pour entrer en contact avec ce monde occulte est de posséder soi-même des dons. Certains découvrent leur don par hasard en voulant aider, soulager un proche, d’autres encore, par une initiation. Mais le moyen de transmission le plus fréquent est l’héritage familial. Les pratiques occultes actuelles les plus répandues aujourd’hui

• La TCI (TransCommunication Instrumentale – communication avec les morts)

• La projection astrale ou « voyage astral »

• Le spiritisme / tables tournantes

• La suggestion mentale

• La télépathie (transmission de pensées)

• L’astrologie / horoscope

• La cartomancie

• Le chamanisme

• La divination

• L’écriture automatique

• Le fétichisme

• Les jeux de rôles

• La magie noire / blanche / rouge

• Le ouija

• La méditation transcendantale

• La numérologie

• Les rêves prémonitoires / visionnaires

• Les coupeurs de feu / l’hypnose / les magnétiseurs

Deutéronome 18 : 10 à 14

10. Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d’astrologue, d’augure, de sorcier,
11. de magicien, personne qui consulte les esprits ou les spirites, personne qui interroge les morts.
12. En effet, celui qui fait cela fait horreur à l’Eternel et c’est à cause de ces pratiques abominables que l’Eternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi.
13. Tu seras tout entier à l’Eternel, ton Dieu.
14. En effet, les nations que tu vas chasser écoutent les astrologues et les devins, mais à toi, l’Eternel, ton Dieu, ne le permet pas.

Explication de Deutéronome 18 : 10 à 14

1. « Qu’on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu » (allusion à des sacrifices humains)

2. « Personne qui se livre à la divination » (astrologie – lecture dans les lignes de la main, les boule de cristal, etc..)

3. « Qui tire des présages » (cartes – tarots, etc…)

4. « Qui ait recours à des techniques occultes ou à la sorcellerie, (projection astrale ou « voyage astral », suggestion mentale, astrologie, usage d’horoscopes) qui jette des sorts » (magie blanche, rouge ou noire) 5. « Personne qui consulte ceux qui invoquent les esprits ou prédisent l’avenir » (la consultation et la pratique occulte sont toutes deux défendues)

6. « Personne qui interroge les morts » (spiritisme)

7. Elles ne laissent aucun doute possible quant à la position de Dieu sur ce sujet ! Seul Christ a la capacité de te sortir du monde occulte Que faire si tu as été en contact avec une forme quelconque d’occultisme ? La réponse tient dans un seul mot : « Jésus-Christ ». Lui seul peut libérer des conséquences directes d’une porte ouverte à l’occultisme : Jésus-Christ sauve. Jésus-Christ pardonne. JésusChrist restaure. « Or, c’est pour détruire les œuvres du diable que le Fils de Dieu est apparu » – 1 Jean 3 : 8 « Jésus s’approcha et leur dit : « Tout pouvoir m’a été donné dans le ciel et sur la terre. »

– Matthieu 28 : 18. « Cette puissance, il l’a déployée en Christ quand il l’a ressuscité et l’a fait asseoir à sa droite dans les lieux célestes, au-dessus de toute domination, de toute autorité, de toute puissance, de toute souveraineté et de tout nom qui peut être nommé, non seulement dans le monde présent, mais encore dans le monde à venir. » – Ephésiens 1 : 20-21.

Téléchargez la revue et l’article complet Ta Jeunesse : Alternatives? Cannabis / Occultisme

Liens Connexes

Ta Jeunesse: Magazine pour jeunes chrétiens. Ta Jeunsse est une édition de SBG (Société Biblique de Genève) qui est une association sans but lucratif fondée en 1917 qui a pour but premier de rendre la Bible accessible à tous au coût le plus bas possible


Ta Jeunesse : Le Cannabis

Ta Jeunesse : Le Cannabis

Extrait de la revue Ta Jeunesse : Alternatives? Cannabis / Occultisme

Sous des apparences “sympathiques”, le feu couve, et c’est toi qu’il va fumer !

Une banalisation en marche « Est-ce que vous fumez ? » Alors que cette question sous-entendait il y a quelques années encore une interrogation concernant la consommation de tabac, et qu’il était de mise de faire préciser si c’était du cannabis, elle est devenue prioritairement évocatrice d’une consommation de cannabis, au point que la précision concerne désormais le tabac. Ce glissement sémantique est à lui seul la preuve du basculement que la France a vécu depuis les années 2000 : le cannabis s’est banalisé au point de faire désormais partie du décor.

Consommé par la moitié des Français En une vingtaine d’années, le cannabis est devenu la première substance illicite consommée en France, et ce, quels que soient les classes d’âge et le niveau social. Dans le dernier pointage de l’Office Français des Drogues et Toxicomanies, qui date de 2017, presque un Français sur deux de 15 à 64 ans (44,5% exactement ) avouait avoir déjà consommé du cannabis au moins une fois dans sa vie. À titre de comparaison, nous n’en sommes qu’à 33 % pour le tabac et seulement 5,4% pour la cocaïne ! Le cannabis est donc devenu un problème de santé publique majeur, devant tous les autres stupéfiants.

D’un verre de vin à un verre de vodka

Parallèlement à l’augmentation de leur consommation, la qualité des produits vendus n’a cessé de s’améliorer, avec comme corollaire, une augmentation impressionnante de la concentration de la substance psychoactive du cannabis : le THC. En effet, le cannabis est devenu une denrée commerciale comme les autres, répondant aux règles du marché capitaliste : offre, demande, qualité, rentabilité, fidélisation de clientèle, retour sur investissement rapide. À titre d’exemple, l’évolution de la puissance du cannabis représente, en 20 ans, l’évolution entre un verre de vin et un verre de vodka ! Pas tout à fait les mêmes conséquences…

D’autant plus si l’on considère que, dans les trois quarts des cas, la première consommation est le fait d’un cadeau d’ami ou de proche. Cette initiation, de type « relationnelle », renvoie une image bienveillante et insouciante de la consommation de cannabis. On est donc loin du cliché d’une « drogue » au sens péjoratif. Ajouter à cela l’euphémisme de la représentation sociale du cannabis comme une drogue dite « douce » ; tout est réuni pour que cette première expérience soit dénuée de tout mécanisme barrière et soit plutôt vécue comme une expérience rassurante.

Ce qui est particulièrement préoccupant, c’est que la part de la consommation totale représente déjà 40% de la population à la fin du lycée. C’est donc particulièrement en fin de collège et au lycée que le premier contact avec le cannabis est expérimenté. Si le cannabis a l’avantage de créer peu d’addiction physique – qui, dans l’imaginaire collectif est le critère de dangerosité d’un produit stupéfiant – les études successives démontrent qu’on est bien loin d’un produit inoffensif. Le cannabis procure des lésions cérébrales irréversibles, tant organiques que fonctionnelles, à un âge où le cerveau est encore en plein développement.

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